L'envie
Chapitre 4 : L'envie d'être avec toi
« Avec Joie » Me répondit il enfin.
J'ai bien cru que mon cœur allait défaillir aussi bien par l'attente que par cette réponse inespérée. Le train s'arrêta et pour une fois je ne descendis pas seul du wagon.
Après dix bonnes minutes de discussion sur la sévérité des professeurs et sur la connerie des voyageurs, dix autres de bus, nous arrivâmes enfin devant chez moi.
Putain, putain putain, j'avais pas prévu que ça aille aussi vite, c'est le BORDEL chez moi.
Bon, bon, prenons un air décontracté.
« Fais pas gaffe au bordel, la femme de ménage a pris la poudre d'escampette » lui dis je en rigolant.
Après avoir relevé un sourcil il me répondit :
« Parce que t'en as déjà eu une ? Rassure moi, elle est parti avant que tu n'emménages ? »
Je suis mort de rire, mais bon d'un côté c'est pas tout à fait faux.
Je déblaye rapidement la table basse et le canapé, lui intimant de s'y assoire en attendant que je regarde ce que j'ai à lui offrir. Je me dirige vers mon frigo et me rends vite compte qu'il ne me reste qu'un pack de bière.
Arff j'aurais peut être dû aller faire les courses moi.
Je retourne au canapé et dépose le pack de bière sur la table.
« j'espère que tu aimes ça, j'ai rien d'autre à te proposer. » dis-je en lui tendant une cannette qu'il me pris avec le sourire.
Il ouvrit sa cannette et en but une gorgée, Il était beau, il l'avait toujours été mais cette fois il était si proche de moi … J'avais envie de le toucher, envie de le prendre dans mes bras ne serait-ce que pour voir si je étais en train de rêver ou pas.
Je vis mon bras se lever pour atteindre son avant bras et le caresser doucement. Il me regarda d'un air interrogatif, mais je n'étais plus mettre de mes mouvements. C'était comme si je vivais la scène de manière extérieur, comme-ci je n'étais plus moi.
Ma main se déporta vers son visage et suivit les traits de celui-ci. Ses traits étaient fins, et le velouté de sa peau me donnait envie d'en connaître davantage.
Il ne dit rien, et ne fit rien.
Il me laissa le toucher.
Jusqu'à présent je l'avais vu, entendu, senti … à ce moment là, je le touchais et pourtant j'avais envie de plus. Je voulais le connaître sous toutes ses formes.
Mes yeux se sont ancrés dans les siens, je ne ressentais aucune peur ni angoisse dans son regard.
Ma main touchait la douceur de ses lèvres, mais je voulais plus, j'avais besoin de plus.
Ce n'était plus une simple envie mais une absolue nécessité.
Mon visage se déporta vers le sien presque instinctivement et je le vis fermer ses yeux me montrant ainsi son accord.
J'allais enfin pouvoir goûter au velouté de ses lèvres, à la caresse de sa bouche.
Je sentis nos lèvres se frôler tout doucement tandis qu'un frisson me pris … cela faisait tellement longtemps que j'attendais cet instant.
J'allais pour le goûter de ma langue quand je sentis quelque chose vibrer de son pantalon et une petite musique accompagner ce vibrement.
Yoshita rouvrit instinctivement les yeux et pris son portable de sa poche pour répondre.
« allo ? »
« Hein ? Meg ! et Merde je t'ai oublié .. oui oui j'arrive tout de suite, attends moi »
Je sentis mon visage se décomposer en entendant sa réponse.
Il partait, il fuyait vu la rapidité avec laquelle il s'en allait.
Je lui avait fait peur !
Je le regardais sans le voir vraiment.
Je voyais ses lèvres bouger, sans comprendre le sens de ses paroles.
J'étais anéanti, assis comme un con sur mon fauteuil pourri devant l'homme que j'aimais, devant cet amour qui partait.
Il pris son manteau qu'il avait déposé quelques temps auparavant et commença à se diriger vers la porte. Arrivé à celle-ci, je me ressaisis et l'interpella :
« Attends moi, je t'accompagne à la gare. »
Il se retourna et me fit un sourire ampli de tendresse. Et nous commençâmes à marcher en direction de la gare.
Yoshita marchait excessivement vite, je ne savais pas si c'était à cause du coup de fil ou du 'presque baiser' mais il était loin devant moi.
Moi, je marchais au ralenti tandis que mon cerveau était en ébullition, je tournais et retournais la scène dans ma tête pour comprendre ce qui avait cloché. Le fait de ne pas comprendre m'énerva et mon pas s'accéléra sans que je ne m'en rende compte.
Ainsi, je dépassai Yoshita sans même m'en apercevoir, et je fus surpris de sentir une main me retenir par le bras tout en me retournant, et des lèvres happés les miennes avec avidité.
Je failli repousser brusquement mon agresseur, lorsque, sortant de ma torpeur, je m'aperçu qu'il s'agissait de mon bel inconnu, de Yoshita.
Mes lèvres s'étirèrent en un sourire tandis que je répondais fiévreusement au baiser de mon agresseur.
Mes bras s'enroulèrent derrière sa nuque dans un besoin possessif.
Il était tard, la nuit était tombée et seul le reflet de la lune nous éclairait.
Yo mis un terme au baiser et posa délicatement son front contre le mien.
« Excuse moi » me dit il.
« excuse moi pour tout a l'heure avec le téléphone, pour maintenant et ce baiser, mais attendre plus longtemps m'était imp… »
Je ne le laissai pas terminer son excuse, et l'embrassai tendrement. Je n'avais que faire de ses excuses, j'avais attendu ce baiser au moins autant que lui.
Je lui sourit et nous repartîmes main dans la main en direction de la gare. Arrivé à celle-ci, nous nous séparâmes par un dernier baiser, il n'y avait pas de quoi être triste nous nous reverrions le lendemain matin dans le train comme tous les jours, pourtant le voir monter dans ce wagon et le voir disparaître dans la nuit me fit mal.
Je regagnai ma demeure et m'assis sur le divan. Une bière à la main, j'attendis … je ne sais pas ce que j'attendais … mon regard allait régulièrement à la porte espérant sans doute que Yo réapparaisse dans l'encadrement. Mais rien …
Le téléphone se mit a sonner, mais je préférai laisser le répondeur se charger de l'appel .. après tout il était là pour ça.
« Salut, t'es bien chez Saï, je suis pas là pour le moment, mais cette gentille bestiole se fera un plaisir de prendre ton message alors vas y n'hésite pas » Répondit le répondeur d'une voix extrêmement joyeuse.
« Saï, t'es pas là ? qu'est ce qui se passe ? … bon tu réponds pas … c'était Shin pour te dire que je risquait de ne pas être là ce week end, je peux pas te dire où je serai mais Mr Suno m'accompagne. Bon bah passe un bon week end mon petit Saï. »
Apparemment Shin sortait avec le prof, c'était rapide mais quand on sait ce qu'on veut, ça aide.
J'atteignis ma chambre … je n'avais pas mangé mais de toute façon je n'avais rien pour me restaurer. Je pris place sur mon lit deux places ne servant que pour moi. Mon regard était vide .. posé sur le plafond, je suivais les lignes formées par les commissures du murs. Je m'endormis ainsi, la tête vide de toutes pensées …
J'avais eu ce que je voulais mais il était parti aussi vite qu'il était venu.
Deux mois que j'attendais ce moment, ce baiser et tout était foiré grâce à ma chère Meg. Elle allait m'entendre celle-là…
En plus, elle avait les clés de la maison ! Elle ne les oublie jamais, et la seule et unique fois que ça arrivait il fallaitt que ce soit à ce moment. Je n'avais vraiment pas de chance.
Il n'empêche qu'en y repensant, cet instant était vraiment … idyllique.
Je ne sais pas si les gens se rendent compte de la chance que l'on a de pouvoir rencontrer une personne, d'en tomber amoureux et de se rendre compte que ce sentiment est réciproque. C'est devenu quelque chose d'anodin mais lorsque cela vous arrive, ce n'est plus une simple rencontre, mais un rêve qui prends vie.
Le train s'arrêta à ma gare et je me dépêchai de sortir de celui-ci, prenant soudain conscience des loubards qui le soir venu en prenaient possession.
Habitant à quelques pas de la gare, j'aperçu très vite ma maison ainsi que la silhouette assise sur le perron de celle-ci. Si j'en croyais les tremblements de son corps, cela devait faire pas mal de temps qu'elle m'attendait. Et je doutais fort que sa veste en jean puisse la protéger de ce froid de décembre.
A vrai dire, je devais bien avouer, n'avoir aucune idée de la manière dont je devais réagir. D'un coté, son coup de fil à ce moment n'était vraiment pas le bienvenu, mais d'un autre coté, je l'avais oublié, chose totalement inédite jusqu'à présent.
Je m'avançai lentement vers elle tout en retirant mes clés de mon manteau, et arrivé à son niveau, sans lui dire un mot, je déposai ma gabardine sur ces frêles épaules. Ce qui lui fit relevé la tête.
« J'attends une explication. » Me dit elle intransigeante.
Finalement c'était quand même elle qui avait le plus le droit d'être énervée. Après tout, cela fait presque deux heures qu'elle m'attendait sous ce froid.
Sans lui répondre je glissai la clé dans la porte pour pouvoir enfin nous poser au chaud. A peine celle-ci ouverte, Meg se précipita sur le canapé où une couverture y était toujours posée. Tandis que je déposai mes affaires et me dirigeai vers la cuisine pour lui préparer une boisson chaude.
Quelques minutes plus tard, je revins vers elle muni d'un chocolat chaud, c'est son petit péché mignon. Et tandis que je le lui posai entre ses mains, je pus voir apparaître un léger sourire sur son visage.
Et sans même détourner son visage du bol de chocolat, elle me demanda d'une petite voix :
« Alors, que c'est il passé pour que tu m'oublies ainsi ? »
Je pris place à ces cotés et commençai mon histoire. Je lui raconta tout et ne garda rien pour moi. Je lui parlai de sa maison quelque peu en ruine, lui expliquai ma joie de pouvoir enfin parler avec lui sans timidité, lui relatai le baiser inachevé par son coup de téléphone et finit par lui décrire le goût de ses lèvres dans l'obscurité de la ruelle.
Tout au long de mon récit j'avais pu voir apparaître sur son visage des sentiments contradictoires ; la surprise, la joie, l'excuse… C'était tout juste si je ne me faisais pas engueuler d'être revenu chez moi pour elle. Elle dit qu'elle voulait le dénouement de cette histoire, que l'attente avait assez duré.
Doucement, elle enleva mon manteau de sur ses épaules.
« Bon si on commandait à manger, je suppose que tu n'as rien prévu pour le dîner de ce soir ? » me dit elle avec le sourire.
« En effet, je n'ai rien … Une pizza conviendrait elle à Sa Majesté ? »
Un hochement de tête plus tard et je téléphonai à la pizzeria du coin. Et pour ne pas changer à leur habitude, nous avions près d'une heure et demi d'attente avant de pouvoir manger.
Je ne saurai dire pourquoi, mais il me semblait que son attitude était étrange, je l'invitai donc à s'exprimer.
« je … je veux partir d'ici. » finit elle par me dire.
« Oh tu veux déménager … et dans quel coin ? tu comptes te rapprocher de tes parents ou de la capital peut être ? »
« Non »
« Ah ! Et que veux tu faire alors ? » demandais-je intrigué.
« Je vais partir du Japon, je pars en Europe. » Me dit elle avec le regard fuyant.
Je me renfonçai dans le canapé et non certain d'avoir bien saisi sa phrase, je demandai :
« Tu pars en vacances ? »
« Non »
Cette réponse sans équivoque m'atteignis comme un coup de couteau au cœur.
« Et, tu comptes y rester combien de temps ? » demandais-je péniblement.
« Je ne sais pas, le temps qu'il faudra je pense. »
Le silence pris place entre nous deux, je ne savais pas quoi répondre à cela. Ou plutôt si, je savais quoi demander mais je n'osais le faire. J'avais toujours su que sa vie ne lui convenait pas. Biensûr, elle aimait son métier, mais sa vie était bien trop « pépère » pour elle qui avait toujours rêver d'aventures.
Cela devait arriver.
Je m'y étais déjà préparé.
Enfin je le croyais.
Et maintenant, je ne savais comment réagir.
Après tout, elle était devenue ma seule famille, mon unique attache.
Je me devais de poser « la » question, même si j'en connaissais déjà la réponse, même si je n'avais pas envie de l'entendre.
« Pourquoi ? »
« J'en ai besoin. J'ai besoin d'autre chose que cette vie. Toutes ces années j'ai économisé pour partir et maintenant que je le peux, je ne veux plus attendre. Tu comprends ? » Me dit-elle comme si elle attendait ma bénédiction.
Mais pourrais-je seulement la lui donner ?
Biensûr que je le pouvais, ou plutôt je me devais de la lui donner. Je la regardais donc avec un sourire de circonstance pour lui répondre l'indispensable : « Oui, je comprends. »
Sur ce, les pizzas commandées arrivèrent enfin et nous nous mîmes à table.
Une seule question ne m'était pas venue à l'esprit, sans doute car je ne pensais pas que les choses allaient se faire aussi rapidement.
Quand soudain, la sonnette retentit.
Un taxi était garé devant la maison.
Mégumi arriva derrière moi, et me pris dans ses bras.
« Je te l'ai dit, je pars. J'ai pris une place dans le premier avion en partance pour l'Europe. Sincèrement je ne sais pas encore où je vais aller mais je t'écrirais, ne t'inquiètes pas. Tu me l'as dit toi-même, tu as toujours su que ça se passerai comme ça. » Me dit elle d'une petite voix.
« Oui, tu ne fais jamais les choses à moitié. »
Je la serrai très fort contre moi, pour ne pas la laisser partir. J'aurais pu rester dans cette position toute la soirée mais le taximan n'a rien trouvé de mieux que de lancer un grand coup de klaxon. Elle m'embrassa sur la joue, pris sa valise et entra dans la voiture. Les 'au revoirs' devaient se passer comme ça avec elle, pas de larmes, pas de grands cri d'adieu ni de discours. Juste un « au revoir » qu'elle me lança par la fenêtre du taxi.
C'était donc pour cela, qu'elle m'en voulait tant de ne pas être arrivé à l'heure. Elle savait qu'elle n'aurait pas beaucoup de temps pour m'expliquer son départ.
Ce soir là, contrairement à mon habitude, je ne débarrassai rien. Les pizzas, le bol, tout resta sur la table.
Je m'allongeai de tout mon long sur mon grand lit vide. Je fermai les yeux pour ne pas voir les larmes qui s'en écoulaient.
Je venais de perdre ma seule véritable amie. Oh biensûr, elle serait toujours là quand j'aurais besoin d'elle, mais les choses seraient différentes.
Elle me manquait déjà.
Et biensûr dans les moments où on a le plus besoin de réconfort, il n'y a personne pour vous en donner. Personne pour vous dire qu'il tient à vous et qu'il a besoin de vous. Personne pour qui l'on se sente vraiment important et nécessaire.
C'est sur ces pensées bien moroses que je trouvai le sommeil cette nuit là.
Le lendemain matin, la neige avait parsemé de flocons blancs mon perron et ce fut avec difficulté que j'arrivai jusqu'à la gare sans glisser.
Le froid avait rougit mes pommettes et je pouvais voir les enfants jouer avec la fumée de leur respiration. Beaucoup mimaient l'acte de fumer une cigarette, certains avaient même sorti des cigarettes en chocolats pour faire plus réel.
Mais, la neige et le froid ne me rendait que plus morose. Ma meilleure amie était partie dans la nuit pour des milliers de kilomètres et je n'avais que trop besoin de réconfort.
La train arriva en gare avec une dizaine de minutes de retard dû à la neige.
Lentement, je montai dans le wagon.
Mécaniquement, j'arrivai à ma place.
Et sans même réfléchir un instant, je me penchai sur mon adonis pour l'embrasser.
Je fus surpris de ne pas avoir tout de suite de réponse, et c'est ce qui me réveilla de ma torpeur.
J'étais en train de l'embrasser à pleine bouche dans un wagon bourré de monde !
J'allais me retirer et m'excuser quand il mit ses mains sur ma nuque pour approfondir encore plus ce baiser et me signifier, par la même occasion, qu'il n'avait que faire du regard des autres.
Tandis que des exclamations d'indignement et d'offuscation furent lancés, le train, sans se soucier de nous, ferma ses portes et quitta la gare.
Ce train qui nous avait fait nous rencontrer.
Ce train que nous avons voulu prendre durant tout ce temps, nous permettait aujourd'hui de vivre notre histoire au grand jour.
Ce train, lui, ne nous montrait pas du doigt.
Il avait juste rendu heureux deux de ces passagers.
THE END
NDA : Voila, enfin la fin de cette histoire en 4 chapitres comme prévu. Cela ne veut pas dire que j'en ai terminé avec fp car j'ai déjà une autre histoire en tête mais qui sera certainement plus longue à arriver le temps d'écrire le scénario beaucoup pus complexe que celui-ci. Et d'écrire plusieurs chapitres afin d'avoir une publication plus rapide. Merci encore de m'avoir lu et pour ceux qui ont reviewer, de m'avoir donner leurs opinions.
Réponses aux Reviews :
Lichee parfum : Merci pour ta review, tes encouragements et tout et tout, tu sais à quel point ca peut me booster et me faire plaisir. Et ne t'inquiète pas, je ne perds pas le rythme Calin ma poulpiquette
Irumi : Merci pour ta review, sincèrement pour les premiers chapitres j'avais jamais fait gaffe que ma séparation entre les pov n'ai pas été marqué alors que sur words elle y est. Bref … maintenant c'est arrangé . J'espère que cette suite et fin te satisfera . Bisous
Pas2nom : Je suis contente que mon histoire ne soit pas si fictive que ça, après tout je pense que l'on a tous voulu parler à quelqu'un dans un train lol. Bisous, en espérant que cette fin te plaira.
Unicorn : J'espère que ce chap te plaira autant que le dernier, et qu'il t'inspira pour me faire une jolie couverture de book bisous ma puce
Pussicats : Merci pour ta review, j'espère que tu aimera tout autant ce chapitre et donc cette fin. Biz
Lady Kaoru Anarchy : Merci beaucoup pour tout tes compliments, ca me fait vraiment chaud au cœur, et j'espère que cette fin te donnera autant d'enthousiasme. Bisous.
Mohnn : Voila, j'espère ne pas t'avoir trop fait attendre cette fois ci, au moins je n'ai pas mis dix mois, mais seulement deux semaines y'a du progrès lol. J'espère que cette fin te plaira bisous
Ptite fleur la fee : Merci pour te review, je suis contente que tu ai aimé, j'espère que tu ne m'en voudra pas trop de pas avoir fait se rencontré Meg et Shin mais elles avaient toutes les deux un emploie du temps assez chargé . Bisou
Petite Sally : Merci pour tes encouragements ca me fait toujours très plaisir. J'espère que cette fin sera à la hauteur de tes attentes… bisous
Ruines : Encore merci pour tes encouragements, et ton soutien, c'est toujours agréable. Et sans m'être presser j'ai la joie te t'annoncer que je n'ai pas mis 5 mois pour l'update mais seulement deux semaines . Bisous la puce
Lexy Kun : Que d'enthousiasme. Je te remercie de m'avoir appris un nouveau mot, sincèrement je ne savais pas que j'avais fait un cliffanger lol … alors j'espère que tu ne seras pas morte d'impatience en l'espace de deux semaines . Bisou
Kittyval : J'ai la joie de t'annoncer que j'ai définitivement fini cette fic … enfin arriver au bout après un passage à vide. Même pas besoin de me harceler cette fois Bisous
Mydaya : Voila voila, comme prévu, seulement 4 chapitres pour cette fic. J'espère que cette fin te plaira tout autant que le reste de la fic. Merci de m'avoir soutenu. bisous