Merci à Uadlé: Si je lui dit pas c'est pour la même raison que celle qu'à une fille particulièrement timide pour ne pas avouer à une autre fille qu'elle l'aime. Je suis la seule à connaître ce site part une amie qui est au courant de ce que je raconte dedans (c'est toi d'ailleurs) et en qui j'ai toute confiance. Je suis également la seule à employer ces surnoms. Pour mes vrai sentiments... Lis ce qui va suivre.

Je ne suis pas vraiment claire. C'est normale, je ne sais pas quoi dire. Mon esprit est dans la plus grande confusion. Elle n'aime pas Kyo. J'adore, pour la simple raison que par-ci par-là je retrouve des lambeaux de ce que je ressens. En voici des extraits:

Si je pardonne, je m'offre encore

Je tremble et raisonne
Je reste, je cherche
Si j'oublie, je donne
Ma vie, mon ombre en somme
Jamais ne m'abandonne

C'est par amour pour toi
C'est par amour pour elle
C'est par amour pour moi
Celui qui donne des ailes
Qui ne laisse pas le choix
Et qui en nous sommeille
Et qui en nous est roi
C'est par amour pour elle
C'est par amour pour toi

(Kyo: Dans ma chair, extrait)

Plongez en moi, je m'ouvre une dernière fois
J'ai touché le fond, j'ai perdu ma voix
Plongez en moi, elle a défié les sons
J'ai tatoué mon âme
La chaleur d'une femme
J'ai appris à naître
Elle cogne dans ma tête

Refrain:
Ce soir nos deux corps se mêlent
Fiers d'une étreinte parfaite
Et si elle veut la vie
Moi je lui donne la mienne
Elle a su m'affranchir
De mes souvenirs
Nos deux corps se mêlent
Elle cogne dans ma tête

Plongez en moi, elle m'a ouvert le fond
Sa voix comme sillon pour guider mes pas
J'ai tatoué son âme
Sous ma peau glaciale
J'ai appris à naître
Elle cogne dans ma tête

au Refrain

J'irai brûler les feux, noyer vos fleuves, crever mes yeux
J'irai graver son nom, changer les saisons si elle le veut

au Refrain

Brûlez, brûlez, brûlez ce monde
Brûler, brûlez, brûlez ce monde

(Kyo, Ce soir)

On s'est laissé tomber à genoux
On s'est enlisé jusqu'au cou
Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais alléluia le vent se lève
Sur l'enfer où je me promène

On s'est laissé tomber à genoux
On s'est enlisé jusqu'au cou
Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais Alléluia le vent se lève
Sur l'enfer d'où je nous surveille

J'ai donné ma vie pour partager la tienne
Bien écorché vif, je m'éveille

Mais un mot de toi pour ma peine
Ma paranoïa sur tes lèvres
Mais Alléluia le vent se lève
Cet enfer est tout ce qu'il me reste

(Kyo, L'enfer, extrait.) (Cette chanson a donné son nom à cette fic, non sans raison. elle est vraimen très belle (ti-chan ou la chanson? Pas la fic en tout cas...)

Il y a des signes qui ne trompent pas. Je l'aime, c'est sûr, c'est clair.

Quand je la voie, je me sens bien. J'ai un mal fou à la regarder en face. J'adore la serrer dans mes bras. J'aime l'écouter parler, même si je me fous royalement de ce qu'elle raconte. Je peux pas résister à l'envie de l'impressionner. Si je ne me suis pas suicidé pendant les vacances de noël c'est parce que je lui ai promis.

Et je l'aime.

Ya pas d'explications, ya pas d'raison, à c'sentiment.

J'pe pa le nier, le dénigrer, sinon je mens

Je l'aime, c'est fou...

Je l'aime c'est tout.

Petit essai de chanson ratée... Elle m'inspire, Elle me trouble, résultat: je baisse les bras.

Je suis stressée à la simple idée qu'elle puisse lire cette fic, parce que comme une con je lui ai donné l'adresse. Mais comme elle me l'a si bien fait remarquer, si je lui ai donné c'est quelque part que j'avais envie qu'elle me lise. Disons que c'est ma façon de lui dire. Je la vois mardi. Souhaitez-moi bon courage.

Et toi ti-chan, ne te vexe pas. Si je n'ai mis que tes défauts, c'est que t'as comme un magnétisme naturel qui m'attire vers toi, qui brouille ma perception des choses, et qui fait que je sais plus pourquoi je t'aime.

Si je ne t'ai sorti que des vacheries cette semaine, c'est que j'étais malheureuse. J'en avais marre de me faire engueuler tout le temps, marre des amours impossibles, marre de ton j'men foutisme... Dans ces cas là, faut que je me trouve un bouc émissaire.

J'ai adoré le jour où j'ai dis que j'étais déprimée, en partie à cause de toi, parce que t' es toujours meilleure que moi... bien sûr..., et où tu m'as dit que c'était pas entièrement ma faute si j'avais le cafard, que j'étais amoureuse, et que c'étais à cause de ça. Je me suis demandé si t'avais pas deviné...

Enfin, maintenant que tu sais, je vais te cîter un passage d'une chanson de je ne sais plus qui, tel que je m'en souviens:

"Et si tu crois un jour que tu m'aime, Et que ce jour là tu as de la peine, N'attends pas un jour pas une semaine, viens me retrouver..."

Evite juste d'en parler aux autres.

Appelle-moi.

LKA.

-Fin-