Voici le pré-épilogue de OUF, ce dernier se passe quatre année aprés la fin de l'histoire avec en personnage principal Genevieve.
Pour ceux quine veulent pas apprendre des choses avant d'avoir lu la fin de Ours Unknowns Feelings de Lichee Parfum passé votre chemin.
Our Unknown Feeling
La nouvelle génération
CHAPITRE UN
Dur la sonnerie du réveil en se matin de septembre, se dit la forme sous la couette et la repoussant mollement. Le corps et l'esprit encore endormis, elle se dirige vers la petite cabine de douche de sa chambre d'étudiante. Machinalement, elle ouvre le robinet et un jet glacé la fait sursauté. Aussitôt, elle actionne le robinet d'eau chaude puis après quelques instants, l'eau devient tiède, puis d'une douce chaleur agréable. Mais ce n'est pas le moment de rêvasser, c'est aujourd'hui la rentrée des classes pour les élèves du lycée. Cela va faire quatre ans qu'elle est dans se lycée, depuis que ces parents on déménager suite à la mutation de son père.
Geneviève ouvre enfin en grand les yeux, la douche la réveil. De la vapeur emplit la minuscule cabine de douche de sa chambre d'internat. La même depuis quatre ans. Elle est arrivé hier en fin d'après midi afin de déballer tranquillement ses affaires, quand son père a stopper la voiture devant l'entrée de l'internat, du lycée privé, elle a eu un pincement au cœur en songeant qu'elle ne reverrait ni son père, ni sa mère ainsi que les jumeaux avant un long moment après avoir passé les vacances avec eux. Pourtant ce n'est pas sa première année dans se lycée privée, mais a chaque fois, la séparation est douloureuse.
D'autres élèves étaient là aussi, déposé par leur famille. Certain était plus joyeux que d'autre à l'idée de commencé une nouvelle année scolaire. Certain de ses élèves quittaient vite leurs parents pour courir en direction de camarade de classe qu'ils n'avaient pas vu depuis le début des vacances. D'autres encore regardait la chambre qui leur avait été attribué et qui serait leur voisin ou voisine de chambre car les bâtiments de l'internat sont mixte, au grand bonheur de certain étudiant et étudiante et au grand désarroi de certain parent, inquiet pour leur progéniture (irresponsable).
Geneviève ferme les robinets, elle saisie une serviette qu'elle enroule sur sa tête pour faire sécher ses cheveux qui lui tombe aux épaules dorénavant, puis attrape une seconde pour s'essuyer en sortant de la cabine. Elle aperçoit légèrement son reflet dans la glace embuée. Elle sort de la minuscule salle de bain, qui est séparé de la chambre par un simple rideau, pour ouvrir la penderie. Elle réfléchie a ce qu'elle va porter alors qu'elle enroule sa serviette sur son corps, aux formes devenues généreuses, afin de ne pas prendre froid. Comme ce mois de septembre à un arrière saison très estivale, elle opte pour un petit haut très moulant bleuté et un jeans taille basse afin de laisser sortir l'élastique du string assorti à son haut.
Une fois vêtu, elle prend son sac de cours, jette un rapide coup d'œil au miroir dans la salle de bain, puis quitte sa chambrette sans oublier de la fermer à clef avant de quitter son bâtiment pour se rendre au self du lycée pour y prendre son petit déjeuner.
Alors que Geneviève travers le campus pour rejoindre la cafétéria. Une douce odeur florale flotte dans l'air alors que le début de l'automne commence à se faire voir sur quelques branches d'arbres où les feuilles commencent à brunir. Tout en marchant, elle voit assis sur un banc Arnaud Bellet. Ce dernier est arrivé au lycée précédente au lycée et s'est retrouver dans la même classe que Geneviève. Son père a été muté dans la région. Depuis son arrivé les filles sont toutes folle de lui, il faut dire qu'il mesure 1m80, des cheveux blond court et un regard bleu azur et qu'il joue au volley-ball. Rapidement un regroupement de groupie c'est former pour le supporter a chacun de ses matchs mais malgré les demandes répéter des filles, il n'est jamais sortie avec aucune d'elles. Arnaud est la sur le banc, vêtu d'un t-shirt blanc et d'un jeans, il regarde sa montre, visiblement il semble attendre quelqu'un. Cela pique la curiosité de Geneviève qui décide de ralentir le pas. Arnaud se lève alors qu'un autre garçon s'avance vers lui. Il s'agit de Yannick Koupat, dit Yan, Il porte une chemisette et un pantalon en jeans. Il est aussi grand que Arnaud, des cheveux brun ramener en arrière qui lui tombe sur la nuque et des yeux marron clair, lui écrit des articles pour le journal du lycée. Il est arrivé en même temps que Arnaud au lycée, son père a été muté aussi, apparemment leurs parents travail dans la même société et se connaissent.
En voyant la scène Geneviève ne peut s'empêcher a du déjà vu, en effet cela lui fait penser à son frère Quentin quand il attendait Emmanuel avant qu'il ne se déchire tous deux. Pourquoi un tel souvenir en voyant ces deux jeunes hommes.
Houlà ! Geneviève arrête de lire des BD Yaoi ! Ca te fausse le jugement.
Geneviève revient sur Terre alors que les deux amis partent vers la cafete. Elle réalise que c'est à cet endroit qu'elle se rendait. Elle reprend sa marche vers le petit déjeuner salvateur alors que son estomac commence à grogner d'impatience.
Quand elle arrive au Self ce dernier est bondé, il faut dire que pour le premier jour de cours tout les élèves commencent à la même heure. Apres une longue file d'attente, Geneviève a son plateau dans les bras et elle part à la recherche d'une table libre ou du moins d'une place libre. Des appels entre élèves résonnent dans la pièce pour indiquer a certain ou se trouve leurs amis. Tout en cherchant une place libre Geneviève croise un visage qui lui est familier mais elle ne réalise pas de suite, c'est après un instant qu'elle dirige son regard en arrière, elle découvre un visage perdu parmi la foule, et un regard effrayer. Une élève de première année cherche aussi une place. Geneviève se dirige vers la nouvelle venue.
- Bienvenue en enfer, dit Geneviève une fois à sa hauteur.
La jeune fille sursaute et se retourne.
- Oui quel enfer pour trouver une place… Gen !?
- Oui c'est moi.
- Mais… Que fais-tu ici ?
- Quelle question ! Je cherche une place pour prendre mon petit déj' et accessoirement j'étudie dans ce lycée.
- Quelle surprise, j'ignorais que tu étais là.
- Et alors, si je m'attendais a te trouver ici Julie.
Deux élèves quittent une table proche, Gen entraîne Julie à la table. Julie La Motte, l'une des jeunes sœurs de Michel, l'amour de son frère aîné Quentin.
- J'ignorais que tu serais dans mon lycée privé, dit Geneviève en avalant une cuillérée de céréales.
- Moi aussi, je suis un peu rassurée de savoir que je connais quelqu'un ici.
- Mais se lycée est pas trop cher pour ta famille ?
- Euh… Nous avons eu une bourse pour que j'entre ici. Maman ne voulait pas que je reste prés de la maison.
- Je comprends. Mais la dernière fois que l'on c'est vu au mois de Juillet, je n'ai pas le souvenir qu'elle en ai parler à ma mère.
- C'est vrais, nous avons reçu la lettre d'admission il y à peine deux semaines.
- Si je peux te venir en aide n'hésite pas !
- Je n'y manquerais pas.
- Tu es dans qu'elle dortoir ?
- Le Marie Curie.
- Moi aussi ! Quel étage ?
- Second.
- Tu es en dessous de moi, on pourra se voir souvent.
- Tu ne vas pas être trop prise pour ta dernière année ?
- Je verrais bien.
- Oh ! Bonjour Gen ! Tu as passé de bonne vacance, lance une voix forte.
Les deux filles lèvent leur regard en direction de la source pour voir le visage sur maquillé d'une fausse blonde vêtu tout en rose.
- Sophia, comment tu vas, demande Geneviève d'une voix faussement enjouée.
- Bien ma chérie. Je suis contente de passé cette dernière année en ta compagnie.
- Mais moi aussi.
- Bon, je file faut que j'aille me faire un raccord maquillage au toilette avant la sonnerie. A tout à l'heure en cours.
- Oui, a toute à l'heure.
La dénommée Sophia part d'un pas décidé.
- C'est qui cette fille maquillée pire qu'une voiture volée, demande Julie.
Geneviève ne peut étouffer un petit rire.
- Cette voiture volée comme tu dis, est dans ma classe.
- Non ! En littéraire avec toi ?
- Oui.
- Je n'y crois pas ! Avec son allure de…
- Je sais, les garçon qui lui son pas passer dessus son rare, enfin si les première année qui viennent d'arrivé mais ça ne va pas duré longtemps. Mais le pire c'est qu'elle a entre 15 et 17 de moyenne dans toutes les matières.
Geneviève lâche un soupir avant d'avaler une nouvelle cuillérée de céréales.
Lentement la salle de la cafete se vide, l'heure de la sonnerie est proche. Geneviève et Julie saisissent leurs sacs dans une mains et dans l'autre leurs plateaux pour les déposer à l'endroit prévu sur des grands chariots. Elles sortent dans la grande cours où les étudiants discutent par groupe. Geneviève aperçoit dans un coin Arnaud et Yan en grande conversation. Du coin des yeux un groupe de fille proche dévore du regard le bel Arnaud.
- Dit, c'est où le bâtiment A ?
Geneviève sort de son observation à la question de Julie.
- Alors tu longe le bâtiment en face de nous par la droite puis tu prend a gauche et tu verras la bâtiment A.
- Merci, fait Julie en partant à toute jambe.
Bon ma petite Geneviève tu ferais bon toi aussi de te rendre devant ton bâtiment.
En effet deux minutes plus tard la sonnerie retentit annonçant la première heure de cours ainsi que le début de l'année scolaire.
Le premier cours bien entendu est donné par leur professeur principal, celui de littérature. Une fois le discourt de début d'année passé le cours commence. Arnaud est assit à deux tables sur la gauche de Geneviève. Toutes les filles se trouvant proche de lui ne cesse de jeter des regards à la dérober. Ce dernier n'en est pas dupe, cela fait déjà un an que ce manége dur mais il laisse faire sans aucune réaction de sa part. Comme ci tout ceci lui était parfaitement indifférent. L'année passé une ou plutôt des rumeurs circulaient à son sujet, comme quoi il était trop timide pour sortir avec une fille, une autre disait qu'il était impuissant, une autre insinuait qu'il lui manquait une partie de son anatomie. Bref des plus sérieuses au plus folles, elles lui étaient arrivées aux oreilles sans aucun doute mais il n'avait rien tenté pour les faire cessés.
La sonnerie de la fin du cours tinte, les étudiant commence à réunir leurs affaires quand la voix du professeur tente de couvrir le brouhaha.
- Vous étudierez pour dans un mois Les mécaniques narratives de J.K Rowling dans Harry Potter.
- Depuis quand Harry Potter est au programme, protestent des élèves.
D'autres se contentent de soupirer de dégoût.
- Ou je vais trouvez les Harry Potter ? Ils vont pas avoir sa à la bibliothèque !
- Dire qu'il a fallut que je visionne tout les films cet été avec mon petit frère et maintenant va falloir que je les lise, soupir une jeune fille vêtu de façon gotique.
- Va falloir que je les achète ce week-end en rentrant à la maison, fait un garçon. J'imagine la tête de mes parents quand je vais leur dire, ils ne vont jamais me croire.
- Au faite y'en a combien ? Cinq c'est ça ?
- Non sept ! Enfin je crois.
- Puisque vous le prenez de cette façon, reprend le professeur. Vous me ferez pour la même date, une dissertation sur le regain d'attrait de la jeunesse à la lecture grâce à J.K Rowling.
Geneviève referme son sac alors qu'une nouveau soupir d'indignation résonne dans la salle, puis elle sort avec les autres étudiants pour la pause déjeuner. L'année commence à peine que déjà un devoir de longue haleine est donnée qui contrarie beaucoup d'étudiant.
Bon, j'ai les bouquins à la maison, j'espère que les jumeaux ne les ont pas abîmés quand ils les ont lu. J'ai faim ! Vite que je remplisse mon estomac qui crie famine.
Quand elle arrive au self, il y a la queue jusque dehors.
Bon faut reprendre les bonnes vieilles habitudes ! Heureusement il fait encore beau. Bon après manger Sport, si je tenais celui qui a fait notre emplois du temps ! Faire de l'exercice après manger ! Remarquez pour éviter de prendre du poids rien de tel pour digérer mais ce n'est pas une raison !
Machinalement elle tourne la tête vers la fin de la file d'attente, un groupe de première année arrive. Dans le groupe elle distingue Julie, elle a le teint pale.
Je te l'avais bien dit ce matin ma pauvre Julie, « bienvenue en enfer ! ».
Gen sent la bonne odeur alléchante de la nourriture, bientôt elle va pouvoir franchir la porte de la cafete. Mais il va falloir manger vite car avec tout cela l'heure tourne. Devant elle, à quelques mètres, se trouvent Arnaud et Yann qui discute de façon très complice.
Une fois son déjeuner fini, elle se rend vers le gymnase pour se changer. Quand elle sort des vestiaires dans sa tenue de sport, les filles de sa classe ainsi que d'autres sont entassées autour du terrain central de Volley. Gen se demande ce qui peut provoquer un tel attroupement. En s'approchant elle entend des filles hurler des « vas y Arnaud ». Ce dernier revêt sa tenue de volleyeur et joue déjà avec son équipe alors que le cours n'a pas encore commencé. Geneviève regarde les filles autour du terrain, cela mérite le détours, elles sont là a le dévorer des yeux comme devant un merveilleux gâteaux succulent sur lequel on bave. D'ailleurs c'est le cas de certaines filles ! Cela fait vraiment cliché mais d'autre sont là les mains jointes sur la poitrine, les yeux remplis d'étoiles. Parmi la foule attroupée, il y a quand même des représentants du sexe masculin. Beaucoup encourage l'équipe, d'autre sont là pour voir comment elle joue pour estimer les joueurs lors de la prochaine rencontre interclasse. Parmi la foule, Geneviève remarque un visage masculin différent des autres, en effet, il a le regard étoilé d'une fille amoureuse ! Ce regard est celui de Yan qui dévore littéralement Arnaud de ses yeux étoilés comme une vierge avec son premier amour. Inconsciemment Yann se mordille la lèvre inférieure en suivant les actions du bel Arnaud.
La sonnerie retentit pour signaler la reprise des cours, l'attroupement se dissout. Certains étudiants et étudiantes partent en courant du gymnase car ils n'ont pas sport a cette heure.
Les professeurs entrent dans le gymnase et prennent leurs élèves. Les garçons de sa classe partent faire du foot sur l'un des terrains dehors, alors que les filles vont faire de la gymnastique au sol.
Enfin la fin de la dernière heure de cours de la journée sonne. Geneviève est épuisé, elle a hâte de regagner sa chambrette pour s'allonger sur le lit quelque instant avant de prendre une bonne douche salvatrice. Elle écoute à peine ce que le prof de Math leur dit de revoir pour le cours du lendemain. Elle demandera le renseignement ce soir au self à un ou une camarade. Une fois ses affaires dans son sac, elle quitte la salle de classe et file vers son dortoir. En chemin, elle tombe sur Julie qui fait une triste mine.
- Alors cette première journée, demande Geneviève en lui mettant une main sur l'épaule.
- Un enfer ! Je ne pensais pas que ce serait ainsi le premier jour, répond Julie en soupirant.
- Il me semble que je te l'avais bien dit ce matin que c'était l'enfer ici.
- Oui mais je croyais que tu parlais de la cafete moi !
Gen éclate de rire.
- Pas uniquement ma pauvre, fait-elle en secouant légèrement la jeune La Motte.
- Je me demande si je vais tenir une année ici.
- Ne t'inquiète pas. J'ai eu la même réflexion que toi en arrivant ici, et pourtant cela fait quatre ans et je suis toujours là !
- Je ne sais pas si j'aurais autant de force que toi !
- Tu verras, une fois le rythme prit cela va beaucoup mieux, les profs sont durs et exigeants mais le taux de réussite de ce lycée frôle les cent pour cent.
- Je compris le message. Si je veux réussir, il faut que je m'accroche.
- Parfaitement.
Geneviève et Julie marche ainsi jusqu'à leur dortoir, elles se séparent à l'étage de Julie. Geneviève rejoint son étage non sans avoir promit de venir chercher son amie pour le dîner.
Une fois dans sa chambre Gen jette son sac au sol et s'effondre sur son lit dont le sommier grince sous le choc. Elle reste ainsi une bonne dizaine de minutes avant de regarder l'heure sur le réveil proche du lit. « 18H30 », encore une heure avant que le dîner ne commence à être servit. Gen se lève et retire ses vêtements pour s'engouffrer dans la cabine de douche. L'eau tiède lui redonne un peu de vigueur. Elle prend une douche rapide, juste quelque minute histoire de se rafraîchir. Puis elle s'habille de façon décontractée avant de saisir son sac et de le poser sur la table qui sert de bureau. Elle en sort ses cahiers et ses livres et commence a travaillé ses cours avant de descendre chercher Julie pour manger.