Disclaimer : Cette histoire ainsi que ses personnages sortent entièrement de ma tête, et à ce titre m'appartiennent dans leur intégralité.
Note de l'auteur : Cette histoire est destinée à un public yaoiste. Qui plus est, le rating M n'est pas là pour faire jolie... Il y aura donc du lemon et de la violence.
Bon et bien me voilà à une date bien imprévue n'est-ce pas ? Avec une nouvelle fiction qui plus est ! Alors rassurez-vous, je ne deviens pas folle !
En ce 4 Septembre, je dédis ce premier chapitre à ma correctrice ! JOYEUX ANNIVERSAIRE MON CHAT !
D'autre part, je précise que, si la suite de cette histoire sortira le jeudi, comme a mon habitude, les sorties ne seront cependant pas régulière mais n'ayez crainte, les attentes ne dépasseront pas 1 mois ! (Comprenez que c'est la rentrée, les choses bouges, je n'ai plus tout mon temps à moi pour avancer cette histoire qui n'a que peu de chapitre d'avance malheureusement...)
Et bien j'arrête de m'éterniser sur ma vie pour vous présenter un peu LSI ! Il s'agit d'une fiction policière (YAOI ! Oui oui là dessus je ne changerais pas) ! Vous pourrez y suivre l'enquête assez difficile que le jeune commandant de police Lambre se retrouve à devoir mener... Difficile d'être juste promu et de recevoir un cas pareil... En espérant que ça vous plaise !
Remerciements : Et bien pour ne pas changer, c'est pour ma correctrice (Gatto Nero) qui fête aujourd'hui ses 2X ans ! (Non je ne dévoilerais pas ton âge même si je me permets de dire que tu as quelques belles années de plus que moi XD) ENCORE BON ANNIVERSAIRE ! Je t'aime très fort mon chat !
Chapitre 1 :
- Commandant Lambre, m'annonçais-je en avançant vers la porte barrée de rubans de sécurité.
Le policier en poste devant celle-ci se tourna vers moi pour regarder mon insigne avant de s'écarter pour me laisser passer. J'écartais le bandeau et franchis le seuil de la petite chambre d'hôtel dans laquelle un corps avait été retrouvé un peu plus tôt dans la matinée.
Je m'approchais du médecin-légiste qui semblait m'attendre patiemment à côté du corps recouvert d'un drap pour éviter sa vue aux curieux qui forçaient encore le passage dans le couloir de l'hôtel.
- Serena, la saluais-je poliment en m'agenouillant à côté du corps pour soulever le drap.
J'observais un instant le corps avant de soupirer. Encore un jeune homme dans la vingtaine. Beau garçon, le genre à faire tomber toutes les filles à ses pieds. Encore un jeune homme de moins sur le marché du célibat.
- Je ne pense pas m'avancer en déclarant que c'est le même modus operandi que le meurtre du mois dernier, déclarais-je en abaissant le linceul sur le cadavre.
- Et je pense que les résultats de mon autopsie seront les mêmes en effet. Il était si jeune… Soupira la femme en me tendant ce qui semblait être le portefeuille de la victime.
- Andy Lascaux, 27 ans, soufflais-je en lisant la carte d'identité de notre « nouveau client ». L'heure du décès, Serena ? Qui l'a trouvé ?
- Mort présumée entre 7h et 7h30, répondit Serena.
C'est une des femmes de ménage de l'hôtel qui l'a trouvé aux environs de 9h, ajouta le brigadier en poste près de la porte.
- Bien, emballez le corps pour le ramener à la morgue. Je veux le rapport d'autopsie au plus vite, déclarais-je à Serena tandis que son assistant s'affairait à déplier un sac mortuaire. La scientifique a encore du boulot à faire ici. Où se trouve la femme de ménage en ce moment ?
- Elle a été transportée à l'hôpital, elle a fait un malaise peu après notre arrivée.
- Bien, je veux qu'elle soit convoquée au commissariat dès qu'elle sera en état de parler. Pour l'instant, j'y retourne. On a un deuxième meurtre sur le dos. Comme si un ne suffisait pas ! On doit trouver le lien entre les victimes au plus vite et arrêter le malade qui leur a fait ça avant qu'il ne fasse une nouvelle victime.
Je me redressais rapidement pour me diriger vers la porte en réfléchissant. Fraichement promu commandant de police après la fin de mon contrat avec l'armée, j'avais été envoyé à Lille pour assister le commissaire en place, et expérimenter mon nouveau poste tranquillement.
La tranquillité… Parlons-en, le commissaire Roche, qui aurait déjà dû prendre sa retraite depuis quelques années, refusait de partir avant de s'assurer qu'il serait remplacé par une personne qu'il jugerait compétente. La compétence, il semblait que je la possédais – malgré ma trop récente entrée dans la police pour devenir commissaire – et c'est bien pour ça que Roche me confiait de plus en plus de travail qui aurait dû lui revenir… Alors que j'aurais dû être son adjoint, je me retrouvais à assumer une partie de sa charge, alors la tranquillité…
Sans parler qu'à peine arrivé depuis un mois, un corps avait été retrouvé atrocement mutilé. Un jeune homme lui aussi dans la vingtaine, à la différence qu'après un mois de recherche nous n'avions toujours pas l'identité de ce pauvre inconnu.
Un mois déjà que ce premier meurtre était survenu, sans que l'on ne trouve la moindre piste quant au meurtrier. Un mois durant lequel mon équipe avait silencieusement prié pour que le barbare qui avait mutilé notre inconnu l'ait fait par vengeance… En gros, un mois durant lequel on n'avait absolument pas avancé, mais durant lequel on avait ardemment espéré que ça reste un meurtre isolé. Et compte tenu qu'aucun détail du précédent homicide n'avait été dévoilé durant le mois, le meurtre d'Andy Lascaux n'était pas l'œuvre d'un plagiaire, ça, j'en étais certain.
À 33 ans, juste promu, ancien capitaine d'un régiment de parachutiste, je me trouvais déjà mêlé à une affaire dont j'aurais aimé ne pas recevoir l'entière responsabilité.
Je gardais obstinément le silence en traversant la foule de journalistes locaux qui bataillaient devant la sortie de l'hôtel. Je me dirigeais, toujours muet, vers ma voiture alors que les journalistes s'acharnaient sur moi, critiquant mon arrivée nouvelle au poste de commandant de police, adjoint du commissaire Roche et mon incapacité à régler le premier meurtre.
Une fois dans ma voiture, je ne pus contenir un grognement de frustration. Comme si j'avais besoin de ces idiots pour me sentir inutile sur cette affaire ! Deux homicides, laissant deux victimes masculines d'âges relativement similaires salement mutilés. L'âge des deux victimes étaient a priori le seul point commun entre les deux jeunes hommes assassinés tant leurs apparences physiques étaient différentes.
Je démarrais enfin la voiture pour partir en direction du commissariat. Il fallait que je relise le dossier du premier meurtre, quelque chose m'avait forcément échappé, même après un mois à relire ce foutu tas de papier… Il devait y avoir un indice ! Juste un indice pour me mettre sur la voie et après… Après on coincerait ce foutu cinglé et je demanderais ma mutation !
- Commandant ! Mademoiselle Valande au téléphone pour vous ! M'interpela un lieutenant alors que je poussais la porte du commissariat.
- Dites-lui que je la prends dans mon bureau, répondis-je en accélérant le pas pour m'exécuter.
- À peine la porte de mon bureau fermée, je me jetais sur mon téléphone pour répondre.
- Mademoiselle Valande, du nouveau pour moi ?
- Commandant Lambre, que de formalités ! S'exclama la voix au bout du fil.
- Serena ! M'exclamais-je. Réponds !
- Non je n'ai rien Maxime, on vient à peine d'arriver à la morgue. Je n'ai pas encore trouvé le moyen de procéder à une autopsie avant même l'arrivée du corps sur mon lieu de travail.
Je me laissais tomber dans mon fauteuil de bureau en grognant. Il était encore tôt, et l'autopsie pourrait surement être réalisée avant le soir… Connaissant Serena, son rapport serait prêt sous deux jours, mais il y aurait surement un compte rendu bien avant… Il n'y aurait plus qu'à attendre les résultats de la toxicologie, et les rapports des scientifiques concernant la ou les armes utilisées.
- On pourrait peut-être manger ensemble ce soir, déclara Serena à l'autre bout du fil. Ça nous permettra de nous détendre, et je pourrais te parler de ce que j'aurais constaté.
Comme je m'en étais douté ! Serena travaillait vite, et bien, ça je le savais pour l'avoir vu faire lors de l'autopsie de notre anonyme du mois dernier. Le compte rendu oral était quelque chose qui prenait beaucoup d'importance pour moi puisqu'il aiguillait les recherches en attendant le rapport papier. Cependant une chose me chiffonnait toujours :
- Les comptes rendus d'autopsie sur l'oreiller ce n'est pas vraiment mon truc Serena, grommelais-je.
- Dans ce cas, je prendrais le temps de le faire avant ! Maintenant je te laisse, j'ai du travail, je vais directement chez toi après le boulot !
Sur quoi, elle me raccrocha au nez sans même me laisser le temps de refuser. Bien qu'il me faille avouer que Serena était tout à fait mon genre : grande, bronzée, avec des yeux clairs est de long cheveux brun. Le nouveau meurtre m'avait terriblement refroidi. Pas que j'ai une réelle relation avec elle, puisqu'on prenait plutôt ça comme un réconfort mutuel pour échapper à la monotonie de nos célibats mutuels…
Je soupirais en reposant le combiné téléphonique sur son socle puis ouvris le dossier du jeune inconnu pour le relire une énième fois. Finalement, passer la nuit avec Serena me permettrait de côtoyer le monde des vivants en dehors de mes heures de boulot, ça ne serait pas un mal.
Je me concentrais à nouveau sur le dossier, vite coupé par une succession d'appels des journaux locaux qui n'abandonnaient pas l'idée de gagner de ma bouche quelques exclusivités, et par la scientifique qui s'affairait déjà à me donner les quelques conclusions que leur permettaient les constatations visuelles de la scène du crime.
A la fin de la journée, bien que n'ayant guère avancé, je me résignais à refermer les multiples dossiers ouverts sur mon bureau et quittais le commissariat pour gagner mon appartement. Serena m'y rejoindrait surement sous peu, et je voulais au moins avoir le temps de me doucher tranquillement avant le repas.
Il me fallut moins d'un quart d'heure pour arriver chez moi. À peine la porte fermée derrière moi, je laissais choir mes chaussures dans l'entrée et traversais la grande pièce principale pour poser la veste de mon costume sur le dossier du canapé. J'en profitais pour déboutonner mon veston et me dirigeais avec une pointe d'humeur vers la salle de bain.
Je finis de me déshabiller rapidement puis me regardais un instant dans le miroir en pied de la salle de bain. J'étais grand, un bon mètre quatre-vingt-dix, plutôt musclé, bien qu'ayant perdu quelques kilos durant le mois écoulé… Ma peau, généralement halée paraissait plus claire qu'à son habitude, et mes yeux clairs, déjà bien cachés par mes mèches châtaines – qui auraient largement méritées une bonne coupe – étaient cernés par la fatigue des derniers jours. Mon apparence physique était plus que lamentable… Moi qui en avais toujours pris soin, car je la voulais irréprochable au vu du grade que j'occupais, me trouvais bien pitoyable avec mes kilos en moins, mes cheveux trop long, mes cernes et ma barbe de plusieurs jours…
Pathétique…
Je me glissais dans la douche en soupirant d'aise quand l'eau chaude commença à caresser mon corps fatigué. Je restais un instant sans bouger avant de me frotter vigoureusement avec du gel douche. Je décidais d'écourter la douche au maximum pour avoir le temps de me raser avant l'arrivée de Serena.
La sonnette de l'entrée retentit à l'instant même où je sortais de la salle de bain, un drap de bain autour de la taille. Je me dépêchais d'aller ouvrir pour laisser entrer une Serena chargée jusqu'aux oreilles.
Celle-ci me détailla un instant de haut en bas puis sourit en remuant le gros sac en papier qu'elle tenait dans ses bras.
- Je crois que j'ai bien fait de prendre à manger si tu sors à peine de la douche, déclara-t-elle avant de me dépasser pour aller poser la nourriture sur la table. Tu devrais mieux t'essuyer les cheveux et, d'enfiler quelque chose, c'est pas vraiment le moment de tomber malade ! S'exclama-t-elle en se retournant pour remuer un dossier dans ma direction. Après on regarde ça et on mange.
Ouais, t'as raison, concédais-je avant de filer prendre une serviette pour mes cheveux et me diriger vers ma chambre pour enfiler un boxer et un pantalon de survêtement.
Je revins rapidement dans la pièce principale en me frictionnant les cheveux. Serena avait déjà mis la table comme elle avait l'habitude de le faire quand elle venait chez moi pour discuter boulot, et accessoirement passer un bon moment après. Assise à table, elle feuilletait déjà son rapport en piquant de la nourriture dans tous les plats à portée de main.
- Tu ne trouveras jamais un mari si t'arrives à manger en regardant des photos de scènes de crime et des rapports d'autopsies, lui fis-je remarquer en m'asseyant à côté d'elle pour regarder.
- C'est mon boulot Maxime. Il est peut-être difficile, et pas agréable mais je le fais autant par devoir que par envie. Je ne vais pas m'arrêter de vivre parce que je suis légiste, et pour vivre je dois me nourrir, au cas où tu l'aurais oublié. Et tu ferais bien de faire pareil. J'étais en train de comparer les deux rapports… On peut dire que même à ce stade de l'enquête les deux meurtres se relient parfaitement… Comme tu as dû t'en douter dès ton arrivée sur la scène du crime, le cadavre a lui aussi été lavé à l'eau de javel… Comme celui de notre inconnu du mois dernier. Les traces laissées sur la chair et les os semblent à première vue avoir été faites par le même objet, mais les photos et les radiographies ont été envoyées à la brigade scientifique pour confirmation. Je n'ai pas encore le rapport de toxico mais il y a fort à parier qu'on va trouver de l'eau de javel aussi dans de sang d'Andy Lascaux. Quant à la cause du décès… Un coup de couteau en plein cœur…
- Comme pour la première victime… terminais-je à sa place. Dire que j'ai été envoyé à Lille parce que je devais y faire un début de carrière tranquille en tant que commandant… soupirais-je en piochant à mon tour dans un des plats.
- Ça fait déjà un mois que tu passes ton temps à le répéter… Si on a pas avancé sur la piste de l'inconnu, Andy, lui avait une identité. On finira par coincer le malade qui leur a fait ça… Et de ton côté, tu as eu des nouvelles ?
- Les bandes de vidéosurveillance de l'hôtel n'ont rien donné… Et les recherches d'empreintes non plus… Il y en avait, certes, mais ce n'était que celles des femmes de ménages et d'Andy…
Je commençais enfin à me servir pour attaquer un véritable repas en silence. Si Serena et moi n'avions rien d'un couple, je savais m'en être fait une réelle amie depuis mon arrivée ici deux mois plus tôt. Malgré un physique plus proche du top model que du médecin légiste, elle restait une personne simple, calme et réfléchie. Un très grand soutien dans les moments de doutes comme ceux qui m'assaillaient depuis que l'on avait trouvé le premier corps.
Le reste du repas se déroula dans un silence qui pour une fois n'avait rien de lourd, et à peine le dîner terminé, Serena m'attira dans la chambre où je la laissais prendre les devants, fatigué de tout, mais bien content qu'elle m'offre un plaisir bien mérité. Serena savait prendre les devants quand elle me savait trop accaparé – mentalement parlant – par le travail. En ça, elle était une réelle amie et bonne partenaire de sport en chambre !
Nous passâmes un long et agréable moment à faire l'amour avant qu'elle ne s'allonge à côté de moi, la tête sur mon épaule. Elle soupira de bien-être un instant avant de reprendre un visage sérieux. La pause était terminée, on le savait aussi bien l'un que l'autre.
- Tu as fait ton rapport à Roche ? Questionna-t-elle.
- Oui, je l'ai appelé dans l'après-midi pour lui parler des premiers résultats de l'enquête sur la scène de crime.
- Oh, alors vous avez des résultats concernant Andy Lascaux ?
- On a découvert qu'il habitait seul en périphérie de Lille. Parents décédés, pas de frères et sœurs, aucune famille à prévenir en soi… On a aussi découvert qu'il était serveur dans un bar gay…
- Oh bon sang… et tu penses pas que… ?
- Rien n'est sûr… On ne connait rien de la précédente victime.
- Oui, je comprends… Que comptes-tu faire pour la suite ?
- Je devrais envoyer des hommes sur son lieu de travail et convoquer son employeur…
Je passais un bras sous la tête et fermais les yeux pour réfléchir. Peut-être devrais-je me rendre moi-même dans ce bar pour enquêter ? L'enquête était des plus sérieuses, pas question de laisser filer la moindre piste.
Je soupirais avant de grogner de mécontentement.
- Tu « devrais » y envoyer des hommes ? Autrement dit, tu préfèrerais y aller toi-même. Mais si tu ne l'as pas dit c'est que tu ne sais surement pas comment te comporter là-bas c'est ça ? Je te connais bien Maxime, même si ça ne fait que deux mois, et tu n'es pas homophobe… Alors où est le problème ?
- Non, je ne suis pas homophobe, mais j'ai jamais vraiment côtoyé de gays et je crains de faire une bourde, ça je te l'accorde…
- Demande à Alex et son coéquipier de te suivre, je crois savoir que le frère d'Alex est gay alors il pourra surement t'aider.
- Alex ? Si en effet son frère était homosexuel – et puisque je savais qu'ils s'entendaient encore très bien – Alex pouvait en effet s'avérer utile pour m'éviter quelques gaffes malencontreuses.
- En attendant, pourquoi on n'irait pas relire ce dossier tous les deux ? Deux têtes valent mieux qu'une ! S'exclama-t-elle en se redressant pour sortir du lit et s'habiller. Et puis, de toute façon, te connaissant, t'es pas prêt de t'endormir.
- Ouais, t'as raison, accordais-je en me levant à mon tour pour renfiler mon boxer et mon pantalon de survêtement.
Après deux grosses heures passées à relire les maigres éléments de l'enquête, sans véritables avancées, je laissais Serena rentrer chez elle et préparais à l'avance ma rencontre du lendemain avec le patron du bar dans lequel travaillait Andy – et si possible la rencontre avec la femme de ménage qui avait trouvé le corps du malheureux.
Dans le meilleur des cas, le patron d'Andy ou l'un des autres employés du bar seraient peut-être l'auteur du, ou plutôt des deux meurtres… ? Sinon, l'un d'eux aurait peut-être remarqué le comportement suspect d'un client.
Dans le pire des cas, aucun renseignement utile ne serait tiré de cette visite au bar… Et j'aurais perdu – en même temps que j'aurais fait perdre à Alex et son coéquipier – un temps précieux.
J'espérais sincèrement que la dernière solution ne soit pas la bonne mais vu le manque de chance que j'avais depuis mon arrivée à Lille, je commençais à me dire – malgré mon athéisme – qu'un dieu quelconque devait vraiment en avoir après moi…
Bon et bien voilà pour ce premier chapitre, en espérant qu'il vous ai plu et qu'il vous ai donné envie d'en savoir un peu plus, autant sur Maxime que sur Serena, ou encore le meurtrier et l'affaire en elle-même ! N'hésitez pas à me donner vos premiers avis par reviews !
À bientôt !