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Le plagiat n'est pas toléré et si attrapé, le procès sera pris.

Copyright 2012 de texte © Evangeline Vaughn


Je vous remercie pour lire cette petite histoire. Voici le premier chapitre de La tristesse de Juliette, venant de mon trilogie de Juliette. Je ne sais pas encore la longueur exacte de cette trilogie, mais cela c'est le prologue, donc c'est beaucoup plus court qu'un chapitre normale.


La tristesse de Juliette

Prologue

Ses yeux brillaient dans la lumière sombre. Elle était triste, mais elle essayait de le cacher de moi. Je pourrais bien comprendre sa tristesse, j'étais là quand son amour est mort. C'était une belle journée en Juillet. Quelqu'un qui nous connaissait par penserait que tout allait bien dans le monde. Juliette, Robert et moi étions là pour rencontrer Henry. Juliette m'a dit que Henry pouvait nous aider à trouver Danielle, ma petite soeur. Presque tout le parc était vacant, sauf un grand homme. Sa peau était très pale, comme papier. Son dos nous façait et j'étais peur. Je voulais courir vers l'autre direction mais je me rappelais que tout ce que je faisais état pour trouver Danielle. On approchait l'homme mystérieux. Il tournait lentement et j'ai réalisé que l'homme tenait une jeune femme près à l'âge de seize ans. La fille était Danielle. Tout ce qui arrivait après était une masse de confusion. Dans une seconde, Danielle était sur le sol, mort dans un étang de sang. Une telle pas près du corps de Danielle, Juliette était sur le sol aussi. Elle pleurait et j'ai vu qu'elle tenait le corps de Robert. Juliette lui regardait intensément et Robert lui disait dans une voix petite, "Je t'aime." J'ai fermé mes yeux car c'est tout ce que je pourrais faire. Je ne pourrais pas bouger, ni parler, ni entendre.

Mes pensées étaient interropus par Juliette. Je n'ai pas réalisé que j'ai commencé à pleurer. "Jean?" Juliette Chuchotta. Elle était si belle, Juliette. Tu devrais me croire que quand elle me donnait des sourires rares, c'était comme tout mon monde éclairait et que tous mes soucis disparraients. C'était comme rien d'autre ne comptait que ce sourire. Ces sourires devenaient de plus en plus rares, mais je sais que je ne vais arrêter à rien pour que Juliette souris encore. Elle ne méritait pas d'être si triste. Juliette méritait le monde, et cela était ce que j'avais enviés de lui donner.

- Juliette?

- Qu'est ce que c'est, Jean?

- Penses-tu qu'on va etre d'accord?

- Oui. Mais pour l'instant, tout n'est pas d'accord, mais je pense que si nous avons les uns les autres, on va survivre. Et par chance, Juliette me donnait un de ces rare sourires, et j'ai cru tout ce qu'elle disait.