Lux

Dans tes yeux d'ormes ambrés d'amour,

Mes étoiles parées, charmées,

S'élèvent à la sublime chaque jour

Azurée de poésie d'albâtre reposé.

A bout de souffle comme la brise le soir

tes mains sur moi, ta sueur coulante,

Ta chevelure emmêlée, je peine à apercevoir

Dans tes yeux le soucis de nos enivrantes.

Autant s'être obstinément, sur les astres

S'appartenir comme enfant à jeunesse.

Séparation dans l'ombre s'apparente à désastre.

Aux abois de ces îles avec liesse,

Bafoue tes idées d'haineuse passion,

Laisse-toi aller aux belles sensations.